Svenn Bjornson (terminé)

• Few words about you •

Nom : BJORNSON
Prénom : Svenn
Surnom(s) : Le Norvégien
Age: 27 ans
Sexualité: Hétéro
Origines: Norvégiennes
Groupe: Les Renégats
Avatar : Jared Leto

• You and your shrink •[/color]

Caractère :
Svenn est à un tournant de sa vie. Depuis plusieurs mois il est parvenu à vaincre sa plus forte dépendance, ce qui provoquait sa faiblesse de caractère. Sa drogue. Elle avait toujours été avec lui bien qu'il rationnait scrupuleusement ses doses, et puis, un matin, plus rien. Difficile de se procurer de telles substances, Svenn passa les jours les plus atroces de sa vie. Le corps et l'âme à la torture, sans aucune possibilité de s'échapper. Il s'est fait face et commence à distinguer avec plus de clairvoyance ce qui l'entoure.
Le Norvégien est quelqu'un de faible. Svenn n'est pas taillé pour la lutte. Docile et influençable, il ne s'est jamaos réellement posé de questions. Il vivait tout simplement, avec une candeur enfantine qui devint rapidement une balise pour tous ceux qui avaient besoin d'un larbin. Car voilà le rôle que Svenn a toujours eu. Dès son enfance, il a été une victime. Et comme les victimes de longue date, au bout d'un moment, il a baissé les bras, il a cessé de lutter et s'est laissé emporter dans la tourmente en essayant de survivre du mieux qu'il pouvait. Adolescent, il était chargé des missions dont personne ne voulait. Les sales besognes étaient systématiquement pour lui. Chez les renégats, les choses n'ont guère changées. Svenn est toujours "l'esclave" de quelqu'un...Marshall. Jusqu'à présent, Sheppards le tenait grâce à la drogue et à la crainte qu'il lui inspirait. Aujourd'hui, il ne reste que la crainte, une très vieille amie de Svenn. Le Norvégien y voit plus clair dans sa vie. Lentement, il se décille et se rend compte que sa place dans cette faction n'était pas la sienne. Le problème est que l'on ne quitte pas les Renégats vivant. Svenn n'a nulle envie d'être un traître que l'on chasse, il veut être tranquille, en paix. Plus de morts, plus de sang. Mais le courage lui manque. Il a trop souvent courbé l'échine.
Svenn reste somme toute une personne attachante. Il a conservé son côté naïf mais il a moins tendance à se faire avoir. Disons qu'il s'efforce de voir plus loin que le bout de son nez. Ancien junkie, le Norvégien sait qu'il sera éternellement en sursis. Si l'occasion se présentait, il lui serait difficile de résister à un dernier "fix"; à moins qu'il ne trouve une raison d'être. Il a eu une longue période mystique qui s'est lentement traduit par une certaine piété. Ca a le don de faire ricaner Marshall mais là est la seule force que Svenn a trouvé pour s'en sortir. Bien qu'il pense à trahir, Svenn ne se considère pas un félon. Il ne projette nullement de provoquer la perte des Renégats, il veut juste vivre par et pour lui-même. Il n'a nullement l'intention d'aller vendre des informations au premier habitant d'Eden venu.
Manies: Svenn prie avant d'aller se coucher. Cette manie date de son "illumination" et ne l'a jamais quittée.
Phobie: Marshall Sheppards

• Your tastes •

Groupe.Chanteur(se) Favoris : Les Beatles
Film Culte: Dark Crystal
Chanson Fétiche: REM - Everybody hurts
Votre livre de chevet: Les contes de Grimm
Plat que vous détestez : On ne fait pas la fine bouche dans une période telle que celle-ci, mais la viande crue lui donne la nausée.
Votre expression de "touslesjours": Excusez moi...pardon...bref, les locutions habituelles du larbin.
Objet indispensable à votre survie : Avant il aurait dit sa drogue, maintenant c'est la minscile croix qu'il a trouvé.

• Body Part •[/color]

Taille: Sven est un peu plus petit que la moyenne. La plupart des personnes ne se méfient pas de lui et sa taille doit y être pour quelqu'un. Il ne mesure qu'un mètre soixante-quinze.
Poids: Petite taille, petite corpulence. Les privations et la malnutrition alliées à son ancienne addiction ont fatigué prématurément son corps. Sven pèse à peine soixante kilos.
Yeux: C'est peut-être ce qu'il y a de plus remarquable chez Sven. La nature l'a doté d'une paire d'yeux magnifiques. D'un bleu clair tirant presque sur le turquoise, ce regard rempli d'innocence vous marquera.
Cheveux: Sven se fiche de son apparence. Ses cheveux sont portés mi-longs. La sombre et naturelle couleur de ces derniers ont repris leurs droits après les fantaisies capillaires du jeune homme.
Condition Physique: On ne peut pas dire que Svenn soit dans une forme olympique. Peu à peu, il se reprend. Mis pour l'instant, il reste toujours la petite crevette d'avant.
Santé: Comme sa condition physique, la santé de Svenn est loin d'être excellente. Il se choppe presque toutes les maladies qui traînent.
Particularités: Un étrange symbole à l'intérieur du poignet et un autre à l'intérieur de l'avant bras (une croix couchée sur le côté au milieu d'un cercle).

• Tell us your little story •

Votre passé :
Svenn a grandi dans la banlieue proche d'Oslo, capitale de la Norvège. Son quartier se situait loin de la ville, rejetté en périphérie de la mégapole dans ces endroits que l'on appelle des "cache-misères". La maison des Bjornson offrait une façade proprette mais cachait une famille qui avait les plus grandes difficultés à joindre les deux bouts.
Après une grossesse douloureuse, partagée entre quelques rails de poudreuse et quelqques tannées venant de son compagnon, Petra mettra au monde le petit Svenn dans un hôpital moyen, le seul qu'ils pouvaient s'offrir. Son père ne lui jettera qu'un seul regard, voyant dans les cheveux sombres de l'enfant la marque de la tromperie de Petra. Ne lui disait-il pas de se protéger? Une prostituée enceinte n'est bonne à rien, sauf à assouvir les désirs d'hommes particulièrement tordus qui sont attirés par les vergetures, les mictions de lait et les ventres rebondis par la vie. Quelques jours après la naissance de Svenn, Petra reprit le chemin du trottoir, son père retrouva ses vieilles amies, les vodkas bon marché. Les deux "parents" du petit garçon étaient trop obsédés par leurs propres déchéances et leur prorpe misère pour se pencher de temps en temps sur le lit du nourrisson et de voir comment il allait. Ils ne s'émerveillèrent jamais sur ses progrès, ils ne passaient jamais de temps avec lui. Les seuls contacts que Svenn avait avec sa famille étaient uniquement lorsque sa mère lui donnait à manger.
Le petit garçon grandit. C'était un bébé qui ne pleurait pas, il avait compris rapidement que personne ne viendrait le chercher, calmer sa douleur, étancher sa soif. Il apprit la patience, taire ses maux pour ne pas déranger. Se faire le plus petit possible pour ne pas être la cause de ces hurlements qui le terrifiaient. Lorsque Svenn aborda les 5 ans, il avait un langage fleuri bien différent des autres gamins. Il connaissait la majorité des insultes que l'on réservait aux adultes mais était incapable de nommer un chien ou un chat, ou même d'en dessiner un. Svenn fréquentait la petite école qui accueillait tous les enfants du quartier. Ses instituteurs furent horrifiés par le retard immense que Bjornson avait accumulé auprès de parents irresponsables. Mais il valait mieux ne pas prévenir les services sociaux. Bjornson Père était connu pour sa violence. Tout ce que le personnel enseignant pouvait faire sans crainte de représailles était de rendre plus douce l'enfance du petit garçon. Petit à petit, Sven rattrappa les années sans être éveillé. Curieux comme tous les enfants, il avait des tas de questions à la bouche qu'il émaillait encore de grossièretés qui faisaient pâlir d'effroi les adultes l'entourant. Le petit Bjornson porta un intérêt très vif aux contes et légendes. Et, le soir, chez lui, lorsque les cris résonnaient depuis l'étage inférieur, le petit garçon se racontait de nouvelles histoires inspirées de celles qu'il avait entendu dans la journée. Les dragons étaient ses vieilles peluches râpées, les fiers chevaliers les rares figurines que lui avaient offert ses parents.
Svenn aborda relativement bien la fin de sa petite enfance. Mais plus il grandissait, moins il ressemblait à Petra ou à son compagnon. Il devait le portrait d'un client quelconque qui restera toujours un inconnu. Il représentait pas moins de un mois de manque à gagner, sans compter la bouffe qu'il ingurgitait. Le joli corps de Petra avait été abîmé par la grossesse, sa peau était moins ferme, de fines vergetures zébraient ses cuisses et sa poitrine. L'argent venait moins fréquemment à la maison et le coupable fut rapidement trouvé. Après tout, c'est de la faute du bâtard si elle n'est plus aussi belle, c'est à cause du bâtard qu'ils ne peuvent plus payer les factures. Les coups pleuvaient sur Svenn de plus en plus fréquemment au fur et à mesure qu'il grandissait. Il ne cherchera jamais à se rebiffer, se contentant de se recroqueviller sur le sol, de protéger les zones les plus sensibles de son corps, celles qui cicatrisaient moins vite, celles qui étaient visibles lorsque l'on est habillé et qui causent toujours des questions embarassantes. Au début, il pleurait beaucoup. Le corps réduit à une immense plaie, le coeur crevé et piétiné à chaque coup reçu. Puis, ses larmes se tarirent. La routine s'était installée. On le cognait et il voyait sa mère tourner pudiquement le regard. Le bruit de sa peau frappée tantôt par un main tantôt par un objet quelconque ne pouvait être ignoré. De même que l'appel muet à l'aide que Svenn tentait de faire comprendre au fond de ses prunelles cristallines.
Un jour où il était accroupi sur le bord du trottoir faisant face à sa maison, une bande de gamins d'à peu près son âge passa devant lui. La petite bande riait, se donnait de grandes claques dans le dos et avait une réputation de petites terreurs dont il fallait se méfier. Pourquoi ont-ils décidé d'embarquer ce môme maigrichon et plein de bleus qu'était Svenn, nul ne le sait. Peut-être avaient-ils senti que la servitude et l'obéissance aveugle était comme une seconde nature chez Svenn? Peut-être avait-il la bouille innocente du parfait et insoupçonnable larbin? Svenn mit rapidement le doigt dans un engrenage qui allait le broyer jusqu'au point de rupture. Auprès de la petite bande, il tenait le rôle d'esclave personnel du chef, il faisait du repérage, s'introduisait dans les maisons (il était petit et maigre mais très discret), il protégeait coûte que coûte les autres quitte à servir de punching-ball pour les bandes adverses. Les seules récompenses que pouvaient lui offrir les autres gamins perdus étaient la drogue et l'alcool qu'ils dérobaient à leurs aînés. A 12 ans, Svenn fera l'expérience de son premier rail de coke sur l'épaule d'un de ses compagnons. A 14 ans, on lui offrira une dose d'héroïne. Pour chaque mission limite suicidaire qu'on lui confiait on lui donnait de quoi s'enivrer ou se droguer. A 15 ans, il rencontra Dieu.

Dans son quartier les gamines n'étaient pas farouches et les gamins n'étaient jamais gêné vis-à-vis de lui tant qu'il gardait ses cheveux longs et doux. La décadence des adultes rejaillissait sur le comportement de leurs rejetons. Svenn n'a que 15 ans et il a lu aujourd'hui quelque chose de flippant dans le journal. Une sorte de maladie bizarre semblait frapper tout le monde. Les gens mourraient en quelques jours après une agonie intolérable. On parlait de virus qui mutait régulièrement. Une grippe mortelle contre laquelle on avait aucun vaccin. Svenn lève les yeux du journal et les pose sur les visages verdis par la mort de sa mère et de son père. Il replit doucement le quotidien, s'approche des deux cadavres, arrange la tenue de ces derniers et sort de la maison. Quelques papiers et déchets volent dans un vent glacial. Les premières neiges viennent de tomber. Cela fait trois jours que la ville commence à se remplir de cadavres. Svenn se dirige à pas lents vers le repaire de sa bande. Voilà deux jours qu'il n'en a pas vu un seul. Lorsqu'il pousse la porte de leur squat, une odeur de pourriture lui agresse les narines. L'odeur habituelle de cet endroit. Dans la semie-obscurité, il appelle...personne ne lui répond à part le vent glacé qui ulule au dehors. Il restera une semaine dans cet endroit, sans boire ni manger, dormant parmi les cadavres de ses anciens compagnons dont il ne pouvait déplier les bras déjà raidis pour s'y blottir. De larmes, il n'en versa aucune. A la fin de cette semaine, il sortit en rampant jusqu'à l'extérieur de l'édifice désaffecté. Le vent s'était calmé, tout était blanc, pur, immaculé. Avec difficulté il parvint à se lever et d'un pas mécanique se dirigea vers la supérette à quelques mètres de là. Dieu l'avait épargné. Lui et uniquement lui.

Sven a un peu de 20 ans et il approche d'une nouvelle ville fantôme. Il a trouvé une bande de survivants qui ont encore de la drogue en quantité respectable et de la gnôle pour se réchauffer le soir et oublier cette chienne de vie. Ces inconnus dont il ne connaît pas le nom, juste les visages, l'ont facilement accepté. Svenn est le petit chien parfait, obéissant, il se contente de peu et ne vient jamais vous déranger aux moments où il ne faut pas. Il comprend les ordres, il n'est donc pas aussi instable qu'un débile léger. Il ne pose pas de questions. Il demande simplement un "protecteur. Quelqu'un pour qui il aurait un peu d'importance. Un des membres de ce groupe nomade endossa bon gré mal gré ce rôle, obligé de dormir avec Svenn pas très loin de lui. Il ne le savait pas mais un grand projet était en train de voir le jour pas très loin de l'endroit où ils s'étaient arrêtés. Eden. Il ne le savait pas encore mais l'un des membres de ce groupe était Marshall Sheppards qui avait rapidement saisi l'intérêt de Svenn et surtout celle de sa servitude.

Aujourd'hui:
Aujourd'hui, Svenn a décroché de la drogue. Plus par manque de substance que par réelle volonté, il est donc en "sursis", prêt à replonger si l'occasion se présente et s'il n'a aucun soutien. Pourtant, il ne peut nier que sa désintoxication a eu des effets bénéfiques. Il voit presque clairement dans le jeu des autres. Il revit lentement et se rend compte du non-sens dans lequel il vit. Il ne veut plus voir de morts, il ne veut plus en causer. Il a l'impression d'être dans une sorte de prison à ciel ouvert. Les Renégats semblaient cools au début. Mais maintenant...Svenn n'aspire qu'à un peu de calme et de sérénité, trouver cette paix qu'il n'a jamais eu. Mais quitter les Renégats se fait les pieds devant. Svenn joue un jeu dangereux en mentant effrontément sur sa fidélité. Il commence à se poser de sérieuses questions, et la forêt n'a jamais eu l'air aussi accueillante.

Bienvenue sur le forum

Depuis combien de temps vous êtes à Eden: Plusieurs mois.
Relations Amicales : A l'heure actuelle, Svenn se demande sérieusement s'il en compte ne serait-ce qu'un parmi tous les Renégats. A part Vanille bien entendu. Dans les pires périodes dûes au manque, la blonde était toujours présente à ses côtés. Svenn ferait tout pour que la lumière qui semble émaner de la jeune fille ne se ternisse pas. Elle est sa bouée de sauvetage, sa balise.
Relations Amoureuses :La notion même d'am:our est à revoir pour Svenn. Il n'a jamais vraiment aimé. Comment pourrait-il accorder un peu d'importance à cette dernière alors qu'il n'a connu que brimades et coups,

• Behind your computer •

Prénom : Genesys
Age: Plus de vingts ans xD
Comment avez-vous connu le forum? : Obsession...il me semble.
Code: Non mais oh il est pas marqué boulet sur mon front !
Présence sur le forum : 5/7
Que pensez vous du forum : Il a l'air excellent...sinon je ne me serais pas inscrite!
Quelque chose à ajouter?: Nope!

Et...fini!

BIENVENUUUUUUUUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

roooooo Jared Leto